[Cité Orientale] Un lieu de fêtes
Publié : 24 avr. 2018, 09:11
Depuis plusieurs jours, l’on aurait vu l’une des membres du Cénacle faire des allers-retours dans la Cité à la recherche d’informations de toutes sortes. La jeune sombre, se renseignait sur divers sujets, comme les autorisations de construire, les patentes et autres joyeusetés administratives du genre. On dit même qu’elle posait mille questions sur les raisons de la fermeture de la dernière auberge du coin.
La boulangère fut approchée pour connaître ses prix et ses possibilités de production en matière de bon pain et douceurs pâtissières. D’autres furent contactés afin d’en savoir plus sur les fournisseurs d’alcool de la région et la cuisine traditionnelle orientale. Il en fut de même pour le peintre le plus réputé du coin et quelques musiciens habitués à venir jouer sur la place.
Petit à petit, la sombre remplissait son carnet de noms, d’adresses et autres notes.
Dans la matinée, on la vit sortir des locaux du Cénacle un lot de parchemins sous le bras. Déterminée, elle alla déposer le tout aux autorités, une lueur de détermination dans le regard.
Les villageois espèrent sincèrement que la guilde proposera bientôt une taverne comme beaucoup le murmurent, ou une auberge. Le genre de lieu qui vous fait oublier les affres de la guerre qui sévit non loin de là. Apportant un peu de joie et de bonne humeur qui briseraient cette ambiance électrique et morose. Car il n’est pas dans la mentalité Orientale de se morfondre et attendre la mort passivement.
L’heure sera bientôt à la fête.
La boulangère fut approchée pour connaître ses prix et ses possibilités de production en matière de bon pain et douceurs pâtissières. D’autres furent contactés afin d’en savoir plus sur les fournisseurs d’alcool de la région et la cuisine traditionnelle orientale. Il en fut de même pour le peintre le plus réputé du coin et quelques musiciens habitués à venir jouer sur la place.
Petit à petit, la sombre remplissait son carnet de noms, d’adresses et autres notes.
Dans la matinée, on la vit sortir des locaux du Cénacle un lot de parchemins sous le bras. Déterminée, elle alla déposer le tout aux autorités, une lueur de détermination dans le regard.
Les villageois espèrent sincèrement que la guilde proposera bientôt une taverne comme beaucoup le murmurent, ou une auberge. Le genre de lieu qui vous fait oublier les affres de la guerre qui sévit non loin de là. Apportant un peu de joie et de bonne humeur qui briseraient cette ambiance électrique et morose. Car il n’est pas dans la mentalité Orientale de se morfondre et attendre la mort passivement.
L’heure sera bientôt à la fête.