
Nom : Meiji
Prénom : Gline
Age : 35 ans
Race : Kamael
Religion : Grand Kain
Description du personnage
Cette femme vêtue de blanc, qui a trente ou trente-cinq ans, paraissant vingt à peine.
Elle est douée d’une beauté admirable, mais étrange, qui produit une impression de répulsion instinctive.
Malgré la splendeur majestueuse de sa taille svelte et gracieuse, l’élégance de sa démarche, la désinvolture de ses mouvements remplis de volupté et de laisser aller, malgré la pureté des lignes de son visage d’un blanc mat, légèrement doré par les chauds rayons du soleil, que les magnifiques tresses de ses cheveux noirs aux reflets bleuâtres encadrent délicieusement, ses grands yeux bleus ornés de longs cils veloutés, et couronnés de sourcils d’un arc parfait, son nez droit aux ailes mobiles et roses, sa bouche mignonne dont les lèvres d’un rouge de sang tranchent admirablement avec ses dents d’un blanc de perle, il y a dans cette splendide créature quelque chose de fatal qui fait froid au cœur.
La profondeur de son regard, le sourire ironique qui, presque toujours, contracte le coin de ses lèvres, le pli imperceptible qui forme sur son front une ligne dure et tranchée, tout chez elle, jusqu’au son mélodieux de sa voix au timbre fortement accentué, tue la sympathie et commande pour ainsi dire, non pas le respect, mais la crainte.
Elle est douée d’une beauté admirable, mais étrange, qui produit une impression de répulsion instinctive.
Malgré la splendeur majestueuse de sa taille svelte et gracieuse, l’élégance de sa démarche, la désinvolture de ses mouvements remplis de volupté et de laisser aller, malgré la pureté des lignes de son visage d’un blanc mat, légèrement doré par les chauds rayons du soleil, que les magnifiques tresses de ses cheveux noirs aux reflets bleuâtres encadrent délicieusement, ses grands yeux bleus ornés de longs cils veloutés, et couronnés de sourcils d’un arc parfait, son nez droit aux ailes mobiles et roses, sa bouche mignonne dont les lèvres d’un rouge de sang tranchent admirablement avec ses dents d’un blanc de perle, il y a dans cette splendide créature quelque chose de fatal qui fait froid au cœur.
La profondeur de son regard, le sourire ironique qui, presque toujours, contracte le coin de ses lèvres, le pli imperceptible qui forme sur son front une ligne dure et tranchée, tout chez elle, jusqu’au son mélodieux de sa voix au timbre fortement accentué, tue la sympathie et commande pour ainsi dire, non pas le respect, mais la crainte.
Réglementation : Oui
Dons :
Aucuns